Renforcement de notre IHS, ne pas relâcher LES EFFORTS !
Notre Institut d’histoire sociale a tenu son assemblée générale annuelle le 1er décembre. Nous y avons fait le bilan du travail effectué et adopté de nouvelles pistes à travailler pour l’année à venir.
Cette assemblée générale nous a aussi donné l’occasion de faire le bilan des adhérents qui composent notre institut. Depuis trois ans nous nous renforçons, mais surtout par des adhésions individuelles. Encore aujourd’hui, et malgré l’adoption de l’orientation décidant de systématiser l’adhésion de toutes nos structures, trop peu proviennent de syndicats ou de sections de retraités. L’objectif n’est donc pas encore atteint.
L’IHS créé par la Fédération en 1997 est un véritable outil au service de l’activité fédérale.
À ce titre il est sollicité afin de trouver les éclairages nécessaires à la compréhension de l’actualité.
Si nous voulons que ce travail soit diffusé auprès des militants, des syndiqués, dépositaires de la mémoire, du vécu, acteurs eux-mêmes des mouvements sociaux des plus ordinaires aux plus spectaculaires, nos structures doivent être plus impliquées. Aussi, il faut que nos organisations, tous nos syndicats et sections de retraités deviennent adhérents de l’institut et renouvellent chaque année leur adhésion.
Redisons-le encore : il en est de l’histoire antérieure comme de celle que nous écrivons au quotidien de l’activité syndicale. Plus nombreux sont celles et ceux qui y participent, plus riches de diversités et plus perspicaces seront les enseignements.
Dans cette période où chacun est invité à prendre part au renforcement de la CGT, l’histoire sociale a évidemment sa place dans notre argumentation en faveur de la syndicalisation. Être adhérent de l’Institut d’histoire sociale, individuellement ou collectivement, c’est s’enrichir du passé et de ses acquis, c’est l’occasion d’acquérir des connaissances utiles dans les échanges actuels.
Thierry Roy, président de l’IHS.
Photo AG du 1er décembre 2022 © IHS CGT Cheminots
