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Nous rappelons que la terreur et la guerre qui meurtrissent le Proche-Orient depuis 1948, nécessitent plus que jamais, l’ouverture d’un processus de paix. La recherche d’une solution politique et diplomatique repose sur le respect du droit international et les résolutions de l’Organisation des Nations unies (ONU) et sur la création d’un État de Palestine viable et souverain au côté de l’État d’Israël.

Militants de l’histoire fédérale, nous le sommes intrinsèquement. C’est à ce titre que notre assemblée générale a validé un certain nombre de rendez-vous au cours de l’année 2024 afin de contribuer à deux événements phares : les 80e anniversaires du programme du Conseil national de la Résistance du 15 mars 1944 et de la grève Insurrectionnelle du 10 août 1944.
Militants de l’histoire locale, nous relaierons également les initiatives que nos correspondants vont prendre comme à Caen pour le 80e anniversaire du débarquement en Normandie, mais aussi en Paca pour celui de la Provence, ainsi que le projet de visite de Camp de Mittelbau-Dora (annexe de Buchenwald). Militants de l’histoire nationale, nous avons aussi validé notre participation aux travaux annuels ou pluriannuels programmés de l’Institut national tels que celui sur la Charte d’Amiens ou la manifestation du 12 février 1934.

Signe d’intérêt pour nos travaux et d’encouragement, notre institut a pu franchir le seuil du millier d’adhérents (individuels ou syndicats) l’année dernière. La quarantaine d’adhésions réalisées lors du Congrès fédéral de novembre dernier viendra s’y ajouter.

Bien évidemment, nous invitons tous les lecteurs de cette Tribune des cheminots à emboîter le pas de ces camarades et à nous rejoindre.

Patrick Chamaret,
membre du bureau de l’IHS cheminot.